Vous êtes ici : Accueil > Semaine des Arts > Quatrième edition (2016) > Performance > In Situ Sentier de Résistance Urbaine
  • In Situ Sentier de Résistance Urbaine

    • Enregistrer au format PDF
    • impression
    • Agrandir le texte
    • Restaurer la taille normale
    • Réduire la taille du texte

  • Mercredi 23 mars 14h - 15h30


    Vendredi 25 mars 14h - 15h30
     



    À l’entrée de l’Université

     
     
    Proposition de Christine Bouvier et Rochdy Laribi, avec Margot Gamet, Claire Izzedine, Naomi Falzone, Valérie Lecourt, Jordan Monteiro, Sophia Nacer, Mathylde Pagès, Posoula Palaiologou, Nils Ramme et Luna Scholari.


    Christine Bouvier et Rochdy Laribi, Résidents à la Friche la Belle de Mai à Marseille sont co-fondateurs du collectif indisciplinaire de performers ORNIC’ART (Danse, Théâtre, multimédia) et de REDPLEXUS, réseau d’échanges et de diffusion des nouvelles écritures de la performance.
    RedPlexus a conçu et produit la 9ème édition du Festival international de performances Préavis de désordre Urbain et organise régulièrement des Plexus Rouges (soirées performances thématiques)
    Ornic’art propose des workshops liés à ses projets de création à d’autres artistes, à des étudiants.

    www.redplexus.org
    www.ornicart.org

    Sentier de Résistance Urbaine est un petit parcours de performances sous quelques caméras de surveillance dans un périmètre autour de l’Université.
    Ces actions sont inspirées par un acte de résistance lié à l’histoire de l’Université : cf. Les Murs et la parole, réalisé sur l’histoire du Centre Universitaire Expérimental de Vincennes par le Collectif Rameau Rouge (1978-1982). On gardera quelques éléments clés du film qui serviront de trame.
    Après un accueil performatif dans l’université, le public sera invité à emprunter un Sentier de Résistance Urbaine dans le quartier immédiat.
    Il s’agit de neutraliser les caméras de surveillance par une petite chorégraphie urbaine collective, ludique, d’inciter le public à une forme de désobéissance civile et de détourner l’attention des caméras pour préparer un "plat de résistance" qui sera partagé par le public et les performers sur le corps d’un.e performer, prétexte à des échanges sur l’engagement du corps, du public, de l’artiste et la résistance.


     



     

    • Enregistrer au format PDF
    • impression
    • Agrandir le texte
    • Restaurer la taille normale
    • Réduire la taille du texte
    • retour en haut de la page